La création d’un réseau d’entreprise par l’intermédiaire d’une compagnie concrétisant votre projet de cloud computing présente bien sûr des avantages. Transferts de dossiers facilités, numérisation de logiciels et autres documents de partage, une sécurité renforcée à votre convenance. Mais les limites du cloud computing sont également réelles. Surtout si l’on n’a aucune idée précise de son usage actuel ou futur.
Cloud computing et virtualisation des données
Le premier but recherché par l’emploi d’un cloud computing, mais aussi limites constatées, c’est la numérisation des données. Bien sûr, par le biais d’un réseau au sein de votre entreprise, vous avez la possibilité de numériser ou de transférer virtuellement tous vos dossiers prioritaires comme logiciels et fiches calculs par l’intermédiaire de cette sphère privée.
Mais d’une part, c’est une compagnie annexe qui gère l’ensemble du réseau concerné, pour des limites sur le cloud computing de traçabilité réelle du document recherché, naviguant à travers le monde, sans que vous sachiez réellement entre quelles mains il est passé. Et dans un second temps, c’est la détérioration du ou des fichiers entreposés sur le cloud computing, dans la limite certaine de l’optimisation de la visualisation ainsi que de l’espace de stockage ou vitesse de transfert garantie. Ainsi, un transfert de fichiers de manière dématérialisée n’est jamais sans risque, et c’est bien là l’une des limites du cloud computing fondamentales.
Des performances limitées à l’usage
Un autre point que beaucoup d’usagers et d’entreprises constatent par l’intermédiaire du cloud computing, c’est la limite de son usage. Surtout si dès le départ, en considérant la nature de votre activité, vous ne savez pas quel format est le plus adapté. Il serait très facile aujourd’hui de vous présenter le réseau comme un PaaS (Platform as a Service) alors que votre seule volonté est de créer un espace de stockage simple et sécurisé comme en convient le DaaS (Desktop as a Service).
Mais la limite du cloud computing aux débuts de votre activité peut aussi très vite être atteinte. Non seulement pour l’espace promis, le flux des données et les connexions simultanées, que pour l’usage futur dont vous en ferez. Le cloud computing présente ainsi une limite simple, c’est sa configuration préalable qui peut imposer un ensemble de services trop complet en fonction de vos usages actuels, ou trop restreints en fonction de vos usages futurs.
C’est pourquoi notamment Amazon a lancé son propre service de cloud computing, sans limites d’usage, avec le concept simple du pays-as-you-use. Les entreprises utilisent comme bon leur semble sur chaque période le réseau privé mis en place, sans que cela ne bouleverse les habitudes ou les évolutions importantes.
Cloud computing : Des coûts importants pour un ROI nul
La première critique, facile si l’on veut, vis-à-vis du réseau inter-entreprise, c’est son coût très important. Par le choix de la configuration du cloud computing, la limite de l’entreprise est aussi de connaître le budget qui y sera alloué. Car sa présence et sa mise en place sont évoquées par un premier service payant à son instauration, puis d’un forfait mensualisé pour sa maintenance. Soit en disposant d’une équipe d’informaticiens au sein même de son groupe, soit par l’appel à un service externe comme Amazon, Microsoft ou Oracle.
Certains grands groupes ou des projets scientifiques comme en atteste le témoignage de Magellan aux États-Unis, le budget alloué au cloud computing représente une limite de 32 millions de dollars. Un coût absolument considérable et qui ne représente finalement pas toujours son usage jour après jour, mois après mois, année après année. Ainsi, la méthode d’Amazon en pay-as-you-use peut-être le bon procédé, du moins pour démarrer, avant de définir la bonne configuration finale de votre cloud computing, sans limite de coûts abusifs, ni restriction sur son utilisation et sa sécurité.